Les premières ruches sont arrivées dans notre jardin, il a une vingtaine d'années.L'opportunité de pouvoir installer de nouvelles colonies sur un deuxième emplacement situé sur le "Parc naturel régional des Ballons des Vosges" m'a permis d'augmenter le cheptel. D'autres ruchers, toujours localisés en Haute-Saône, ont suivi, permettant d'exploiter plus de 150 ruches.

Depuis quelques années, les conditions climatiques et d'autres facteurs ont, malheureusement, fortement réduit ce nombre.

Les étiquettes de mes pots de miel sont axées sur la valorisation du miel haut-saônois et portent le nom du rucher de récolte du miel contenu dans le pot.

Voici l'emplacement du tout premier rucher. Il est toujours présent à proximité de notre habitation ; les abeilles ont l'opportunité de butiner les différentes fleurs  que nous cultivons ainsi que les arbres du jardin. Un grand châtaigner, et un superbe tilleul, les occupent beaucoup au moment de leurs floraisons. Le voisinage est encore très vert malgré une urbanisation galopante. Nos bassins apportent l'eau nécessaire. Il n'y pas de grandes cultures à proximité.

Le deuxième emplacement est situé sur un terrain familial en bordure de bois sur le "Parc naturel régional des Ballons des Vosges".  Ce lieu  propose aux butineuses  sapins et  feuillus mais aussi des prairies fleuries sauvages. Il n'y a pas de champs cultivés dans le voisinage et les abeilles n'y rencontrent donc pas ou peu de pesticides. Plusieurs sources coulent à proximité. On peut y produire l'appellation "miel de montagne".

Etobon : environnement mixte de forêts et de prairies. Selon les années, forte présence de ronces et/ou de miellats.